Un hommage touchant, dans un monde cynique et artificiel ... Un portrait de femme par Louis Reynier.
À l’altru mondu...
La cérémonie touche à sa fin. Sur l’écran géant, des photos de Martine sont diffusées…
— Au-delà de son combat contre la maladie, Martine était une personne aimante et attentionnée. C’était une amie fidèle, une mère et une grand-mère dévouée. Sa famille était sa plus grande fierté et sa plus grande source de bonheur. Son héritage d'amour et de générosité continuera de vivre à travers eux.
Martine, que ton âme repose en paix. Que ton courage et ta bonté continuent de briller dans nos vies, et puissions-nous trouver la force de vivre chaque jour avec la même passion et la même détermination qui t'ont caractérisée.
En ce moment solennel, nous allons nous recueillir en écoutant une chanson qui tenait particulièrement à Martine : « Je suis venu te dire que je m'en vais ». Cette mélodie occupait une place spéciale dans sa playlist. Elle avait exprimé sur Facebook, le 17 février 2014, son souhait que cette chanson accompagne son dernier adieu. Aujourd'hui, nous honorons sa volonté en lui offrant ce dernier hommage musical.
…un peu plus tard…
— Toutes mes condoléances. Quelle belle cérémonie ! C’était vraiment très émouvant. Martine aurait aimé, j’en suis certain. Tu sais, pour l’enterrement de mon père, on avait pu avoir un curé, mais il était complètement gâteux : il avait raconté n’importe quoi. Là, ChatGPT avec cet algorithme qui exploite les réseaux sociaux, c’est quand même d’un autre niveau...
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