Quatrième de couverture
François Xavier s’est affranchi du diktat du destin comme des règles sociales ; il est devenu « un » putain car, écrit-il, « quelle plus évidente affirmation du désir que le paiement ? » Ainsi laisse-t-il à ses clientes le loisir d’exercer leurs boulimies sexuelles dans l’assurance d’une relation aussi saine que discrète. Reste la question de la limite que ses partenaires n’ont de cesse de repousser et qu’il n’a de cesse d’explorer.
Les femmes de Bastia, que l’on imaginait plus sages, sont les héroïnes de cette confession sans concession. Aucune pornographie de boucherie chevaline dans ces lignes ; aucun érotisme de naphtaline non plus… de la cyprine et du sang. Une odyssée moderne donc ! Une odyssée où les dieux de l’Olympe investiraient les femmes d’une violence désirante… jusqu’alors tue.
Pour public averti. Ouvrage érotique - pornographique diront certains - assurément ! Mais surtout, ouvrage virtuose de questionnement intime sur le désir et ses limites (adultère, prostitution, sadomasochisme, gérontophilie,...). Une perfomance… littéraire !