Quatrième de couverture
Dans la solitude d’un village de Corse, alors que l’heure de la retraite a sonné et que la vie, nonchalante, se partage entre activités intellectuelles, remise en ordre du passé et organisation du quotidien, l’amour constitue un point de fuite inespéré. La femme qui l’a suscité incarne une dernière chance de bonheur dans l’existence du narrateur. Elle est son « beau souci » et sait se faire désirer. Nathalie a une âme d’artiste. Lui, d’esthète.
Elle veut vivre intensément, de tous ses pores, quitte à tromper son mari. Lui, lucide plus que désabusé, veut désormais profiter du simple et du beau… et l’ambiguïté de leur relation lui pèse.
Sanguine, elle l’est. Désirante et obstinée. Sans doute un peu volage. Lui, le cérébral, sait bien que le destin des amours clandestines est de finir un jour… Cinq ans déjà ont passé depuis leur première rencontre. Rien ne poudroie plus au loin, il l’a compris.
Mais l’amour… ?